Chapitre 1 : Gros piaf bientôt faire plouf

L'aventure se déroule dans un univers peuplé d'innombrables îles et le climat y est particulièrement variable d'un archipel à l'autre (cela peut parfois défier toute logique). Les "lanceurs de sorts" sont absents et la magie manipulable par les mortels n'existe pas. Seules les divinités en sont capables. Ils existent donc bel et bien des objets, des effets et des créatures magiques (même s'ils restent rares).

Rappel de l'aventure passée

Membres de la horde de Briznuk Neuf-Bides-Et-Demi avec laquelle vous aviez pris la mer en quête de pillages lucratifs, une tempête d'une rare violence a disséminé vos embarcations aux quatre coins de l'océan. Votre galère ogre s'est échoué sur une plage singulière au sein d'un archipel bien évidemment inconnu. Votre tâche consiste donc à survivre et à tirer profit de votre environnement. Le reste de l'aventure est entre vos mains.

Votre embarcation s'est échouée, il y a de cela quelques jours sur l'une des plages de Muba. Tiraillés par la faim, les crabes des cocotiers, de gros crustacés (de la taille d'un ballon de foot) vous ont permis de vous sustenter. Cependant, vos imposants estomacs quémandaient une autre pitance...

En longeant la côte, vous vous êtes heurtés à des hameaux humains. Malgré leur résistance héroïque, vous avez dévasté leur lieu de vie, souillant l'honneur de plusieurs femmes et transformant la côte en un véritable charnier.

Lors d'une halte nocturne, votre groupe a été pris à parti par des Gorilles sanguinaires menés par un féroce Girallon dont vous portez désormais les stigmates comme trophées.

Impressionnés par vos capacités martiales, un groupe de bandits, visiblement d'anciens pirates échoués, vous ont proposés de faire une alliance avec vous, afin de prendre contrôle des îles. En guise de bonne foi, le chef des bandits, Jean, vous offre également le gîte et le couvert en plus de services d'armurerie, de tannerie et de forge. De plus, l'un des leurs, un gringalet nommé "Crevette", vous accompagne de manière permanente comme suivant.

C'est ainsi que Jean vous a proposé plusieurs quêtes afin d'affermir les positions du groupe de bandits. La première consistait d'abord à détruire un avant-poste elfique. Le combat fut âpre, notamment à cause d'un rôdeur elfe particulièrement agaçant dont les vers se partagent actuellement les derniers restes.
La seconde, visait directement un village faiblement fortifié occupé par des humains. L'attaque se finit au beau milieu de la nuit à l'aide de l'éclaireur disgracieux Jimmy "Chafouin" qui fut grièvement blessé avant de finir aplati sous une pile de décombres (l'un des membres de votre groupe ayant renversé la tour dans laquelle l'éclaireur se trouvait).

Sur le chemin du retour, alors que vous franchissiez des rapides, vous avez été attaqué par des monstres étranges, de véritables masses de muscles que vous avez identifiés comme des "Truk koriass". Malgré leur forte capacité régénérante, ils ne firent pas le poids face à vos attaques.

Vous voici donc de retour au campement de la Confrérie, située stratégiquement sur un plateau relié de solides ponts en bois et en corde. Entouré par la jungle, il est cerclé d'une palissade de rondins taillés de trois mètres de haut. De nombreuses cabanes sont disposés un peu partout, y compris dans les plus gros arbres. On notera une zone pourvue de grandes cages de fer réservées aux prisonniers et aux esclaves. L'une d'entre elles contient d'ailleurs un ogre. [/i]

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(Tout d'abord pour toujours plus d'épiquisme qui sied à chaque début de scénario !)

Je m'avance d'un pas nonchalant typique et caractéristique des ogres levés du mauvais pied, et salut Jean d'une tirade courte qui sied à son rang :

-Hmpf !
*Ironie activée*
-Qu'est-ce qu'on p'faire pour son auguste présence ? S'pas qu'suis pas matinal, mais un accueil avec une bonne bestiole carbonisée au feu d'bois n'aurait pas été d'trop.

J'me retourne pour échanger un sourire moqueur et complice avec mon compère.

Je jette un coup d'oeil autour de moi et relève la remarque de mon collègue :

-Un tonneau d'bière peut-être ?

J'étends moi aussi les bras en riant et expose mon envergure et mes mains colossales à Jean.

Puisque t'es trop lent à mettre ton avatar, je t'en met un en attendant, vieux frippon !

( @ Dargaaz : le contenu de la bouteille te fait autant d'effet qu'un shot de Contrex. Il s'agit toutefois d'un vin convenable, très boisé et légèrement acidulé.)

Jean Plafonne éclate d'un rire tonitruant, faisant sursauter les deux esclaves elfes, à peine visibles derrière les rideaux dans l'alcôve.

Jean Plafonne : Excellent ! Concernant les forces coloniales en présence sur ces îles, je vous ferais un topo quand vous reviendrez de la chasse. Après tout, vous faites partie de la Confrérie désormais et il convient de vous informer davantage. Votre équipement a été entreposé dans vos tentes respectives. Si vous avez d'autres questions sur le fonctionnement du campement, Crevette devrait pouvoir vous aider. Vous pouvez disposer !

Libre à vous de sortir de la tente ou d'y rester ou d'entreprendre une quelconque action

Petit MAJ règles d'écrite : Lorsque vos personnages prennent la parole (dialogues) vous n'avez plus besoin de mettre en gras (je me dit que ça "surcharge trop). En revanche, je vous invite à mettre les autres textes (type description) en Italique !

Crevette : B...B...bien vot' seigneurie ! J'men vais chercher l'canasson et les provisions fissa !

Le visage de Crevette dessine un sourire peu rassuré, ne sachant pas trop si Barnobgnaz plaisante ou s'il s’apprête à le troquer comme hors d'oeuvre faute d'autre pitance. Un bref salut au chef de la guilde et il détale hors de la tente en direction des écuries.

(@ Barnobgnaz : Lorsque tu sors de la tente, la plupart des bandits se retournent vers toi, visiblement impressionnés, notamment par le bruit que fait ta lourde chaîne lestée d'une ancre massive. Peu d'entre eux soutiennent ton regard mais certains t'adressent un franc salut plein d'admiration. Tu traverses donc fièrement le camp, toisant ses occupants du haut de tes trois mètres. Contournant quelques amas de gros arbres dans lesquelles se dissimulent des cabanes, tu parviens à l'endroit où sont entreposées les cages. Quatre au total et bien surveillées par des bandits attentifs. La première contient des individus de sexe masculins, hommes, elfes et nains vêtus de haillons sales. Nombre d'entre eux sont couverts de poussière. Sur ta droite, la deuxième contient des représentants du sexe féminin et des enfants dans un état à peine meilleur que les hommes. Encore plus à droite, une cage moins grande contient quelques chiens à l'air agressif qui aboient copieusement à ton passage. Enfin, la dernière cage, moins spacieuse mais d'aspect plus solide contient un ogre. En te voyant arriver, il se lève et attrape les barreaux de sa cellule de ses mains puissantes. La première chose que tu remarques est qu'il fait une tête de moins que toi, ce qui pour un ogre presque dépourvu de cou, signifie vraiment quelque chose. De mémoire d'ogre, tu n'as jamais vu un ogre adulte d'un gabarit aussi modeste.)

Tog le Chétif : Aah, enfin un membre de ma propre espèce, et de ma tribu ! J'm'appelle Tog mais on m'surnomme Tog le Chétif parce que j'suis moins gros que les autr'... Ils m'ont l'air de t'avoir à la bonne dans l'coin. Paraît que t'es balèze à ce qu'ils disent. Moi, ils m'font pas confiance. Sors-moi d'là copain et j'te dirais tout c'que t'as b'soin d'savoir !

Les geôliers observent la scène, se tiennent fermement à tes côtés mais ne pipent mot.

Dargaaz, c'est à toi de jouer. Si tu le souhaites, tu peux indiquer au début de ton post (en vert) que tu as suivi Barnobgnaz jusqu'aux cages. Dans ce cas, tu auras entendu les propos de Tog le Chétif.

Je suis Barnobgnaz jusqu'aux cages

En approchant de la cage je me tiens cependant en retrait, mon compagnon semblant prendre la tête des opérations. Je lâche un crachat de taille sur un des elfes que nous dépassons, mais peine à cacher ma surprise face à la petite taille de Tog.

-Ola l'avorton, comment qu'tu t'es fait capturer par les ptits hommes qui craquent, parceque jveux pas d'faiblards avec nous, jpartage pas la bonne bouffe avec ceux qui méritent pas !

(@ Dargaaz : Ton crachat aussi imposant qu'imprévisible s'écrase en plein dans l'oreille pointue d'un prisonnier elfe qui ne tourne pas suffisamment vite la tête pour l'esquiver. [HEADSHOOOT!])

Prisonnier elfe : AAH ! s'exclame-t-il de surprise et de dégoût avant de se replier d'un air soumis vers le fond de la cage où tous les prisonniers se serrent comme des sardines.

Geôlier Hubert : HAHA ! En plein dans l'esgourde !
Geôlier Bill : T'as vu ça !
Les deux compères éclatent d'un rire mauvais tandis que l'elfe infortuné frotte frénétiquement un pan de ses haillons sur sa tempe maculée de glaires.

Tog le Chétif : Maaaais c'est pas d'ma faut' ! J'venais de m'échouer sur l'sable il y a quelques jours de ça et je crevais la dalle. Sur la plage j'ai vu plein de petites carapaces de crabes toutes vides ! Rien à becqueter j'vous dis ! Quelqu'un avait dû bien s'goinfrer si vous voulez mon avis. Du coup, je me suis enfoncé dans la jungle, m'empiffrant de feuilles, de branches et d'arbustes sans qu'mon estomac soit rassasié. J'suis tombé sur un groupe de bandits que la faim m'a poussé à attaquer aveuglément alors qu'ils étaient une bonne vingtaine. La faim peut rendre fou le plus...hum...sage et avisé des ogres ! J'étais faible et amoindri par des jours de navigation sans boire ni manger... et certains tapaient vraiment fort pour des z'humains. Ils m'ont assomé et j'me suis réveillé dans la cage. Heureusement, j'suis nourri d'temps à autr' !

Il fait un petit signe de tête en visant les ossements qui tapissent son lieu de détention.

Tog le Chétif : Pour sûr qu'vous avez l'air balèzes ! Y'a qu'à voir la façon dont les z'humains vous r'gardent ! J'suis p'têtr' pas aussi costaud que vous mais j'sais m'servir d'un bon pétoire à distance ou au corps à corps selon les circonstances ! L'chef de la Conférie m'a confisqué mes joujous lorsque ses gars m'ont cassé la gueule. Acceptez-moi dans votre troup' les gars, vous l'regrett'rez pas. Tout c'que j'demande c'est avoir une p'tite part du butin ! 'Faut bien gagner sa croût' !

Derrière vous, un bruit de sabots se fait entendre. C'est Crevette qui se dirige vers vous à grand pas affichant une tête de constipé. Il tient par la bride une jument à l'aspect robuste.

(@Barnobgnaz : Voici quelques infos jeune bibitas, sur la fiche de PNJ important "Tog le Chétif")

Tog le Chétif fais une moue renfrognée suite aux appellations disgracieuses de Barnobgnaz mais ne semble pas plus que ça s'en émouvoir. Il semble que ce n'est pas la première fois qu'il essuie ce genre de quolibets.

En voyant se retourner le guerrier ogre, Crevette se fige.

Crevette: Tout d'suite vo't seigneurie ! dit-il avant de détaler vers la yourte, laissant la jument sur place.

Intrigués par votre présence, plusieurs bandits se rapprochent de vous. Les geôliers semblent être sûrs d'eux et maintiennent une posture bien droite, leurs armes à la main. Ils se tiennent à proximité des cages, à environ un mètre ou deux.

Pour le concours de glaviots, il faut d'abord préciser quelle cage vous souhaiter viser. Ensuite, pour le fun, je vous laisse réaliser un jet d'attaque à distance, en utilisant la commande [rand] 20 [/rand] (sans les espace autour du "20").

Pour la cage, je me retourne vers la plus proche contenant un elfe. je me tiens à 1-2 m et lui crache à la ggle.

Nombre aléatoire (1,20) : 11

+13 au jet d'attaque à distance (+12 BBA, +2 Dex, -1 Taille)

Sans attendre le résultat de mon vil exploit, je m'approche de Dargaaz en me grattant les parties de manière désobligeante. J'ignore totalement les bandits qui se sont rassemblés.

Je m'adresse à lui en aparté

-Ouaip, t'raison, au pire son crâne nous servira de pot de chambre.

Je parlais de la tribu, notre tribu, MJ en carton pâte ! . J'ai déjà lu la super description de notre amis disgracieux ^^.

Attention Point Règles Important que je viens de remarquer : Lorsque vous utilisez la fonction random dans l'un de vos post il est primordial de NE PAS L'EDITER ENSUITE (pour le modifier). Cela relance un nouveau random et peut donc créer un résultat différent ! Et n'essayer pas d'éditer en douce si vous avez eu un rand de merde, je peux voir en bas de votre post si vous l'avez modifié, bande de petits saloupiots !

(@ Barnobgnaz : Je crois que tu vas promptement décéder l'ami ! Clique sur ce lien pour en savoir plus sur la Bande de Briznuk)

Les deux ogres se déplacent vers la cage des captifs de sexe masculin et leur décochent deux mollards gros comme des poires. Le projectile de Barnobgnaz atteint un elfe de petite taille en plein sur l'épaule gauche, faisant gicler la bave sur sa figure. Bien que la sécrétion salivaire du moine ogre visait délibérément l'elfe déjà souillé, celui-ci, désormais sur ses gardes, parvient à l'éviter in-extremis. Le crachat s'écrase sur le torse d'un homme barbu au large torse velu.

Les geôliers éclatent de plus belle. Le prisonnier humain, semble toutefois rouge de colère et affiche un visage crispé par la haine.

Prisonnier humain barbu-velu : (@Dargaaz) Va te faire enculer, gros tas !
Geôlier Bill : Tiens ta langue le poilu, y'en a ici qui s'ferait un plaisir de la boulotter !
Prisonnier nain (s'adressant à son colocataire barbu) : Calme-toi, Manu, ça n'en vaut pas la peine... dit-il d'un air las.
Prisonnier humain barbu-velu : J'en ai plus qu'assez ! On ne fait que creuser toute la journée, on viole nos femmes, on se sert de nos enfants comme otages et on nous maltraite jusque dans le seul endroit où on peut passer la nuit relativement tranquilles !
Prisonnier nain : Manu...
Prisonnier humain barbu-velu : Soyez maudits, vous et vos ogres larbins !
Geôlier Hubert : Mais il va la fermer sa gueule ?! (il sort un pistolet à silex et le braque sur le dénommé Manu en guise d'intimidation)

ola on se calme tout de suite j'ai fait tout qu'est ce qu'on m'a dit ! et quand j'ai test avec j'ai pas réussi :s. Je sais pas trop comment ca s'passe pour l'inventaire donc je remet les 10Po bin sûr mais je suis pas très au fait de la gestion du stuff !

Je paye mon compagnon en grommelant, et fait craquer mes jointures en toisant le hardi velu.

-Dis donc mais c'est qu'ils ont des "considérations" ! Ta rombière jm'en balance et tes mômes c'est un casse-croûte, mais toi tu viens de prendre du galon, t'es d'venu une distraction.

J'accompagne ce dernier mot d'un sourire des plus carnassier et fait signe à un des gardes d'ouvrir la cage.

Clairement je suis blessé dans mon orgueil et je fais ca pour me rattraper, je précise ceci car mes capacités psychologiques étant relativement limitées je suppose qu'il est possible de le décerner.

Pas d'soucis la vie est beeelle... J'avais oublié d'écrire le "/" dans les consignes. Pour modifier la somme d'or que tu possèdes, il faut juste aller dans Profil > Feuille de personnage > et modifier la somme de goldygold que tu possèdes. Je l'ai fait pour toi cette fois.

Le prisonnier Manu affiche un air à mi-chemin entre la fureur et le désespoir. Il serre ses deux gros poings tremblants tandis que les autres prisonniers se tassent silencieusement dans le fond de la cellule.

Manu: ça fait longtemps que ma femme est morte, étron ambulant... dit-il la mâchoire crispée.
Geôlier Hubert : Désolé garçon, j'ouvre pas la cage. Y'a que l'chef Jean qui peut m'donner l'ordre de...

Jean Plafonne (faisant irruption à quelques pas à gauche de Dargaaz, accompagné de plusieurs bandits et de Crevette) : Qu'est-ce qui se passe ici?
Geôlier Bill: Rien d'grave, chef. C'est juste c'prisonnier qui s'est permis de l'ouvrir un peu trop quand les deux ogres ont fait un p'tit concours de molards. (il pointe le captif du nom de Manu)
Jean Plafonne (s'adressant au prisonnier) : Alors on joue les fortes têtes?
Le prisonnier Manu reste coi.
Geôlier Bill: Il a traité l'un des ogres de "gros enculé"... et aussi "d'étron ambulant".
Jean Plafonne: Tiens donc. Peut-être aie-je été trop indulgent avec quelques comportements désobligeants, dit-il d'une voix calme et sereine. Ouvrez la cage et faites-moi sortir le mariolle.

Le geôlier Bill s’exécute, sortant un gros trousseau de clés, pendant que le geôlier Hubert et plusieurs autres bandits dissuadent les prisonniers du moindre faux mouvement avec leurs pistolets à silex. Hubert et un de ses collègues attrapent le prisonnier Manu qui ne prend même pas la peine de se débattre.

Jean Plafonne: Et bien, bouillant révolutionnaire ! Nous allons te donner une unique chance de régler tes comptes ! A vrai dire, cela ne me déplaît pas, j'ai déjà entendu les faits d'armes de l'ogre Barnobgnaz et de ses chaînes mais jamais encore de celui que l'on appelle Dargaaz Broie-la-Poigne ! Que tout le monde s'écarte ! Laissons les dieux décider du reste !

Les bandits décrivent un large cercle autour de Dargaaz et de Manu qui se tiennent à une dizaine de mètres de distance. D'autres bandits affluent et certains lancent des paris.

Manu: Un homme d'honneur m'aurait au moins laissé une arme pour me battre !
Jean Plafonne: Quel énergumène tu fais ! Et pourquoi donc? Ton adversaire ici présent est aussi désarmé que toi ! CE SERA DONC UN COMBAT A MORT ET A MAINS NUES ! hurle-t-il.

Dargaaz est invité à faire un jet d'initiative ci-dessous dans le cadre du duel. Un plan de la scène sera bientôt disponible dans mon prochain post.

(@Barnobgnaz : Pas du tout, jeune impertinent! Manu c'est le prisonnier "barbu-velu". Le prisonnier nain qui a pris la parole, vous ne connaissez pas son nom. Pas de problème pour ton post, il est le bienvenu )

Jean écoute le chuchotement de Barnobgnaz à son oreille.

Jean Plafonne :A vrai dire, j’espérais que vous diriez ça. S'il se comporte bien, il aura sa part du butin. Nous avons entreposé ses affaires dans un coin, juste au cas où. Il semble en effet avoir une certaine affinité avec les armes à feu. Tentez d'apaiser le ressentiment qu'il éprouve envers la Confrérie si tel est le cas...dans son propre intérêt.

Le chef de la Confrérie hèle un des bandits :

Jean Plafonne : Tarken, va vite chercher l'équipement de l'ogre en cage !
Tarken le bandit :Mais...chef, j'pourrais pas voir le combat !
Jean Plafonne :Je m'en branle comme de mon premier abordage, va les chercher tout de suite !

Le bandit Tarken entame alors un sprint remarquable vers l'une des tentes. Pendant ce temps, des dizaines de bandits ont afflué vers le lieu du duel et comment à frapper leurs armes de concert pour encourager les belligérants à se battre. Dans les cages, les femmes cachent les yeux de leurs enfants.

Nombre aléatoire (1,20) : 5

+4 de Bonus DEX
(C'est d'abord le [rand] puis le [/rand], t'en fais pas tu vas y arriver ! Dans le doute, dans ton post tu peux trouver la fonction "Aléatoire" (c'est un symbole qui ressemble à ça : X.Y en noir)

J'exhibe mes poings à mon vis-à-vis avant de feindre de m'incliner face à lui, comme en moquant une courbette

-Jte présente Daisy et Molly, l'sieur Manu, z'aiment bien consoler les veufs ! Jte promet qu'elles te feront tout oublier...